« L’eau est une question d’hygiène, et par conséquent, de vie » écrivait Marx Dormoy.
L’air, autre élément essentiel, contribuait tout autant à la santé et au confort urbain. L’aménagement d’espaces aérés s’inscrira d’ailleurs dans le plan d’embellissement et d’assainissement de notre ville alors en pleine expansion. Le grand homme l’affirmera quelques années plus tard dans sa politique d’hygiène et de salubrité publique avec, entre autres, le jardin Wilson (ou jardin des Remparts), le jardin Breda en Ville Gozet et le jardin Neillot aux Marais. Si ces espaces verts marquent encore aujourd’hui le paysage urbain, revenons en 1921 et nous remarquerons que, dans bien des domaines, la municipalité de Paul Constans avait déjà initié cette idéologie et mené des projets similaires.