On trouve peu de travaux originaux sur le Bourbonnais au moment du Coup d’état.
En 1852 Hennequin, dans une brochure qui jouit alors d’une certaine notoriété parmi le monde des salons, ne parle guère avec ampleur que des débats du deuxième conseil de guerre. Destinée surtout à faire l’apothéose d’un drame qui ne peut être glorifié que par ceux qui en furent les auteurs, cette brochure ne mérite pas les éloges qu’on s’est plu à lui décerner. En fait de travail d’ensemble sur le Bourbonnais en 1851, il n’en existe pas. J’ai essayé de combler cette lacune ». J.Cornillon