» Ces contes qui, durant tant et tant de générations , ont amusé, réconforté et moralisé l’âme dolente des pauvres gens, ces contes charmants et vénérables qui gardent en eux l’esprit franc, jovial et plein de bon sens de nos ancêtres, ces contes, nos actuels paysans les dédaignent et les oublient. Ils n’en comprennent sans doute pas, la philosophie consolante; et ingrats, les jettent au tas des autres traditions oubliées. ces contes que l’on ne conte plus,sont réduits à létat de curiosités rares, de bibelots de collection, dignes de figurer dans un trophée de paysanneries où seraient déjà la musette et la vielle qui jouèrent la dernière bourrée, ainsi que le chapeau à deux bonjours de la belle bourbonnaise qui la dansa. »