A l’origine, une boite. Retrouvée dans un tiroir familial, elle contient une centaine de cartes postales enfantines datées de la seconde guerre mondiale, d’apparence guillerettes, mais qui laissent entrevoir les déménagements, les séparations, la nourriture qui fait défaut, la peur, le bruit des armes. Puis une envie, un besoin irrépressible de remonter le temps pour recomposer la vie du petit Jean-Paul, de ses parents , de Lise et Poldi, de cette famille juive d’origine étarngère qui s’imaginait faire partie de « ces excellents français » que chantait Maurice Chevalier en 1939…